Les boulangeries dominicaines sont une tradition qui existe dans le pays depuis des milliers d'années. Elles sont représentées comme des œuvres d'art, car elles révèlent des connaissances historiques en matière de décoration, peinture, gravure, haut-relief et sculpture avec tous les matériaux comestibles. Pour cette raison, il est important de connaître l'histoire de la confiserie du pays afin que cette belle tradition gastronomique ne s'arrête jamais.
Le gâteau dominicain !
Il s'agit d'un descendant du gâteau britannique appelé "Pound Cake", qui signifie "gâteau de quatre-quarts", car sa création nécessite un libre de chaque ingrédient (beurre, œufs, sucre et farine). En 1790, il est arrivé aux États-Unis et un livre a été publié expliquant comment ce dessert et bien d'autres étaient préparés. Quelque temps plus tard, en 1900, de nombreux pays américains ont adapté la recette et inclus de nouveaux ingrédients, ainsi est née la meilleure génoise du monde, qui est la dominicaine, celle-ci se caractérise par sa texture douce et spongieuse et par la couverture de meringue dont elle bénéficie à votre entourage. Ce dessert est traditionnel dans les familles dominicaines pour des événements spéciaux comme les anniversaires, les premières communions ou les mariages.
Les haricots doux !
Cette recette représente la formation culturelle de la République dominicaine, mais elle est liée à la présence française sur l'île qui se situe dans la période de 1790 à 1809. À cette époque, le Français François Delalande a introduit dans la culture dominicaine la consommation de haricots doux, puis, comme il était impossible de cultiver les mêmes haricots verts, ils ont été remplacés par ceux des États-Unis. Au fil du temps, la préparation a été modifiée, avant, elle devait être consommée le jour même, maintenant elle peut être réfrigérée et les ingrédients peuvent être mélangés. Notez que cette recette est très populaire à Pâques, notamment le dimanche des Rameaux.
Maiz Caquiao !
C'est un dessert traditionnel de la culture de la République dominicaine, il est aussi connu sous le nom de Chacá, son origine n'est pas certaine, il viendrait d'Haïti. Cependant, il existe des rumeurs selon lesquelles la recette viendrait d'Afrique. Quoi qu'il en soit, c'est une friandise typique de l'île que l'on fréquente pendant le Carême, bien que l'on puisse également la trouver dans les magasins de tout le pays. Sa préparation était autrefois assez dédiée, il fallait d'abord profiter du plus dans une marmite avec des cendres chaudes et ensuite le moudre pour enlever la partie qui récupère le grain, puis il était bouilli pendant des heures jusqu'à ce qu'il ramollisse. Actuellement il est plus facile à préparer, parce que le plus est dans les magazines de terre.